Au cours de notre existence, on se nourrit d'Amour. C'est un don céleste transmis de vie en vie. Du mieux que nous le vénérons, il subsiste, pour que s'ouvrent les coeurs.
Un proche commet un crime. Ça te tombe sur la tête et par le lien du sang te voici jugé et condamné. Les « amis » ne sont plus que des ombres. Aucune apparition bienveillante. Place aux ragots. Ta faute est ton lien de parenté.
Paroles
Quand les années se promènent
Quand les souvenirs sont la
Les traces de vie s'enchaînent
Une histoire séjourne en toi
Quand nos mémoires s’éteignent
Quand demain ne vient plus
Nos traces de vie s’achèvent
Sans avoir disparu
Refrain:
D’autres pupilles pour lire
D’autres mains pour écrire
Les lignes d’autres destins
Ne pleure mon Frère
Quand le silence est lourd
ll revient au Père
De t'inonder d’amour
Bénie soit sa présence
Je sais que rien n’est mort
L’oubli perd de son sens
Puisqu’il t’aime encore
Refrain:
D’autres pupilles pour lire
D’autres mains pour écrire
Les lignes d’autres destins
©CarL Os (Cae: 132540117)
Paroles
Chers amis disparus
Qu’êtes-vous devenus
Colère ou mépris
Pas un signe de vie
J’attendais un regard
Un soutien, de l’espoir
Quelques mots pour m’aider
Et vous vous éloignez
Qu’ai-je fais de mal
Serais-je à dénigrer
Puisque l’auteur du drame
M’est étroitement lié
Léguer son patronyme
N’est pas encore un crime
Pourquoi m’y associer
Pourquoi me condamner
Chers amis disparus
Qu’êtes-vous devenus
Mensonges et calomnies
De sombres théories
J’entends par d’autres bouches
Des propos qui me touchent
Vos ragots de commères
Au venin de vipère
Qu’ai-je fais de mal
Serais-je à dénigrer
Puisque l’auteur du drame
M’est étroitement lié
Léguer son patronyme
N’est pas encore un crime
Pourquoi m’y associer
Pourquoi me salir
Qu’avez-vous à gagner
Sinon juger, pour se grandir
Chers amis disparus
Gardiens de la vertu
Fidèles érudits
Si j’ai bien compris
Je ne suis pas crédule
Ni moins minuscule
Même sur les genoux
Que le plus grand d’entre-vous
Qu’ai-je fais de mal
Serais-je à dénigrer
Puisque l’auteur du drame
M’est étroitement lié
Léguer son patronyme
N’est pas encore un crime
Pourquoi m’y associer
Pourquoi me condamner
Qu’avez-vous à gagner
Sinon juger, pour se grandir
©CarL Os
Paroles
S’il me vient un sourire enjoué comme celui d’un enfant
Il répond au plaisir de croiser celui que l’on me tend
S’il me vient un sourire amusé aussi doux qu’insouciant
Il répond au plaisir des pensées qu’il m'emmène en passant
Il avance comme l’éclair
Cet instant débonnaire, me transporte au firmament
Aussi sincère qu’une prière, me présente le complice du moment
Un échange mystère, que comprennent les êtres qui refusent l’indifférence
Plus discret qu’ordinaire et pourtant il est bien opportun
Ce sentiment muet, qui ne m’en dirait plus en parlant
De bonté mutuelle, il se lit sur nos lèvres à présent
A chacun son destin, sa couleur et son rang
Le genre, le culte, le sang, le continent
N’en feront pas moins de nous, des humains
Si tu veux un sourire enjoué comme celui d’un enfants
Réponds au plaisir de croiser celui que je te tends
Si tu veux un sourire amusé aussi doux qu’insouciant
Réponds au plaisir des pensées que j’emmène en passant
J’avance comme l’éclair
Pour un temps débonnaire, je t’emporte au firmament
Aussi sincère qu’une prière, je serai le complice du moment
Un échange mystère qui ne tourne la tête par devant nos différences
Plus discret qu’ordinaire et pourtant il est bien éloquent
Ce sentiment muet ne nous en dirait plus en parlant
De bonté mutuelle il se lit sur nos lèvres à présent
A chacun son destin, sa couleur et son rang
Le genre, le culte, le sang, le continent
N’en feront pas moins de nous, des humains
©Carlos Ramirez-Guanche (Cae: 132540117) - 31/3/2007
J’ai dans mes souveniras de Casanova
Des temps qui s’arrêtent et ne s’oublieront pas
D’une histoire qui t’emballe à l’autre qui t’abat
J’ai soigné mon journal et pourtant j’en suis là
Je crains d’avoir épousé la solitude
Cette carpe muette que j’ai tant repoussé
Et qui jamais ne souffrira de mes infidélités (à la solitude)
Je sais que malgré moi, elle reviendra toujours
Hanter mes vieux jours
J’aimerais en finir avec le célibat
Crier “cette fois, c’est la bonne” pour la dernière fois
Quand on jette un regard sur ma vie conjugale
Je raconte des histoires pour paraître normal
Je crains d’avoir épousé la solitude
Cette carpe muette que j’ai tant repoussée
Je laisse une place auprès de moi
Pour ce qu’il me reste aujourd’hui
De temps qui me presse de donner de moi
Pendant que jeunesse a vieilli
Le temps façonne, espoirs et regrets
J’entends qu’il fredonne
Laisse une place auprès de toi
Pour ce qu’il te reste aujourd’hui
De temps qui ne cesse de veiller sur toi
Pendant que jeunesse a mûri
Avant que Princesse
Met dans ses souvenirs de Casanova
Des temps qui s’arrêtent et ne s'oublieront pas
D’une histoire qui l’emballe à l’autre qui l’abat
Elle rejoint mon journal et voyons d’ici là
J’y laisse une place auprès de moi
Pour ce qu’il nous reste aujourd’hui
De temps qu’il nous presse à donner de soi
Pendant que jeunesse a vieilli
Je laisse une place auprès de moi
Pour ce qu’il me reste aujourd’hui
De temps qui me presse de veiller sur toi
Toi ma Princesse viens, dans ma vie
©Carl Os / Cae 132540117
C’est peut-être pas la fin du monde
Peut-être pas la panacée
Encore moins la grande hécatombe
Du moins celle qu’on à annoncé
C’est peut-être moins médiatique
Que d’actualiser les drames et soucis de la vie
Pourtant ce serait l’Amérique
Que d’affranchir la vérité
Chacun peut crier l’imposture
On veut une autre société
Tirer vers sois la couverture
Sans avoir un doigt à lever
Pour s’aliéner y a pas pire
Que d’s’installer à l’heure de la télé réalité
Pour oublier de réfléchir
Aux remèdes à l’absurdité
Pourtant ce serait pathétique
Que de se faire une religion
D'exalter son indignation
Que de ressasser les drames et soucis de la vie
Pour oublier de réfléchir
Au sens de la fraternité
C’est peut-être pas la fin du monde
Peut-être pas la panacée
Encore moins la grande hécatombe
Du moins celle qu’on à redouté
C’est peut-être moins sympathique
Que d'apprendre a serrer les mains qui unissent pour la vie
Mais je trouverais magnifique
Pour finir en beauté
Comme dans un Comte de fée
De serrer les mains qui unissent pour la vie
©Carl Os / Cae 132540117
Petit homme a trouvé la planète
Sens dessus dessous
Il s’étonne mais il le répète
Changez tout
Loin de l'agitation
De la décadence
Un sage a eu raison
De l'impertinence
Petit homme a trouvé le sourire
Tout à coup
Et c'est comme l'air qu'il respire
Entre nous
Bien au delà du profit
De la surabondance
Le sage a gagné le répit
Et la réjouissance
On a tout pour s'unir
On peut bien ralentir
Et vivre ensemble
Il est temps d'y croire
De partager nos avoirs
Tout simplement
Faudra toucher le fond
Pour donner l'impulsion
À la renaissance
Et c'est quand t'en peux plus
Que tu trouves le salut
La délivrance
Loin de la confusion
Des incohérences
Petit homme a sa solution
Garder confiance
Il est temps d'y croire
De partager nos avoirs
Tout simplement
Faudra toucher le fond
Pour donner l'impulsion
À la renaissance
Et c'est quand t'en peux plus
Que tu trouves le salut
La délivrance
Petit homme a trouvé la planète
Sens dessus dessous
Il s’étonne mais il le répète
On change tout
©Carl Os / Cae 132540117
Comment guider son enfant dans son parcours et lui donner les ailes d’une existence équilibrée ?
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Petite-fille en face de moi
Pourquoi ce regard humide
Pourquoi craindre le monde
Petite-fille en face de moi
Pourquoi ne pas lâcher prise
Et profiter que la neige tombe
La vie n’est pas toujours compliquée
Tu avances et tu hésites
Sa patience est sans limite
S’il te manque une part de moi
Pour retrouver l’équilibre
Rejoins-moi sous l’égide
J’ai tant de chaleur à donner
Mon cœur pour te couvrir et t’apaiser
De bonheur à nourrir de sentiments
Avant de m’en aller
Petite-fille écoute moi
En ce moment d’hivers
Profitons que la neige tombe
Petite-fille écoute moi
Que j’aime te voir légère
Danser le rythme des flocons
La vie est bien moins compliquée
Tu avances et tu glisses
Ta confiance est sans limite
Tu gagnes une part de moi
Tu garderas l’équilibre
J’te confie à l’avenir
J’ai tant de chaleur à donner
Mon cœur pour te couvrir et t’apaiser
De bonheur à nourrir de sentiments
Avant de m’en aller
©Carl Os / Cae 132540117
Un jour, une amie me raconte l'histoire de sa "différence". Pourquoi la subir d'autant qu'elle ne l'avait pas choisie ?
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Dis-moi pourquoi je n’aime que toi
Pourquoi différent je suis égal à toi
Je t’aime et pour moi c’est sans importance
Quand t’aimer fait de moi la différence
Dis-moi pourquoi je n’aime que toi
Pourquoi différent je ne t’aimerais pas
Je t’aime on le voit et pourquoi m’en défendre
Quand aimer se conçoit dans ma différence
Imagine un monde sans confusion
Un monde en tout cohérent
J’imagine un brin d’hésitation
Comment rêver sans différence
Dis-moi pourquoi je ne t’aimerais pas
Pourquoi les œillères s’arrêtent sur moi
Entre-toi et moi ou est la différence
Quand elle et lui s’aime dans la différence
Dis-moi pourquoi je ne t’aimerais pas
Quand la différence indique une voie
T’aimer donne choix à la tolérance
D’emboîter le pas à nos différences
Imagine un monde sans confusion
Un monde en tout cohérent
J’imagine un brin d’hésitation
Comment rêver sans différence
©Carl Os / Cae 132540117
Tu peux très bien baisser les bras
Courber le dos ou fondre en larmes
T’en prendre au sort qui s’acharne
Encore un malheur qui t’abat
Tu peux très bien rire aux éclats
Rompre le sort qu’il ne s’éloigne
Déverrouiller tes habitudes
Laisser tes heures de solitude
L’envie s’éveille
Au-delà d’une passerelle
L’ennui s’arrête et sommeille
De l’autre rive je t’appelle
L’envie s’éveille
Au-delà d’une passerelle
L’ennui s’arrête et sommeille
Vers d’autres rives je t’emmène
Je peux très bien baisser les bras
Courber le dos, courir au drame
Maudire le sort de toute mon âme
Dans le malheur tu m’aideras
Refrain:
D’aussi loin que mes souvenirs reviennent
Je n’ai rencontré le soutien
D’une amitié comme la tienne
Je peux très bien tendre une oreille
Sourire et te rendre la pareille
J’ai disposé de ta confiance
Du trésor de la confidence
Tu peux très bien compter sur moi
Confier tes peurs, livrer tes failles
L’amitié défend ses lois
Qui n’encouragent les représailles
L’envie s’éveille
Au-delà d’une passerelle
L’ennui s’arrête et sommeille
De l’autre rive je t’appelle
L’envie s’éveille
Au-delà d’une passerelle
L'ennui s’arrête et sommeille
Vers d’autres rives je t’emmène
On peut enfin nourrir l’espoir
S’ouvrir un fidèle avenir
Nos rancœurs, nos idées noires
S’envoleront en fous rires
Refrain:
D’aussi loin que mes souvenirs reviennent
Je n’ai rencontré le soutien
D’une amitié comme la tienne
©Carl Os / Cae 132540117
Paroles : Eric Gooris
A compléter
Chanson composée pour le spectacle
L'histoire réelle d'un couple qui s'entre déchire.
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Fou de toi
Sont les mots qui viennent à moi
Quand je pense à toi
Avant que la haine s’en mêle
Au fil du temps
Avant que la haine vienne
Insidieusement
Libre à soi
Même s’il on en crève, ou pas
Quand l’élan prend froid
Avant que le cœur ne gèle
À coups de sang
De briser les chaînes
Que craignent les amants
De briser les chaînes
Que craignent les amants
Refrain
Quand céderons-nous mon amour
Soutenir la haine, par la haine
Et la haine survit toujours
Toujours
Pauvre toi, pauvre moi
Pauvres nous
Pauvre moi, pauvre toi
Pauvres nous
Comprends-moi
De laisser grandir en soi
L’espoir d’une grâce
Donnera des ailes
À nos sentiments
Sans que l’on n'comprenne
Son cheminement
Sans que l’on n'comprenne
Son cheminement
Refrain
Quand cesserons-nous mon amour
Soutenir la haine, par la haine
Et la haine survit toujours
Pauvre toi, pauvre moi
Pauvres nous
Pauvre moi, pauvre toi
Pauvres nous
Pauvre toi, pauvre moi
Pauvres nous
Pauvre moi, pauvre toi
Pauvres nous
Pour finir
Je préfère construire
Plutôt que subir
Maudire la douleur
Brûle à feu lent
Quand aimer chasse la peur
Simplement
Quand aimer chasse la peur
Simplement
Pauvre toi, pauvre moi
Pauvres nous
Pauvre moi, pauvre toi
Pauvres nous
Pauvre toi, pauvre moi
Pauvres nous
Pauvre moi, pauvre toi
Pauvres nous
©Carl Os / Cae 132540117
Suite à une séparation. Après la douleur, un sentiment puissant de liberté m'envahit. Mon imagination ne subissait aucune contrainte. Place à l'enthousiasme.
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Un regard
Un sourire
Une lueur, un espoir
Un hasard
Un désir
Un cœur, une histoire
J’attends le signal
Un œil, une larme
De joie ou de peine
Cela m’est égal
Pleurer ou rire
Vivre et nourrir
Les sentiments qu’elle m’inspire
Refrain
Le poète chemine au gré des mots qu’il sème
De sa plus belle pensée, je t’aime
Une nuit
Un plaisir
Une fleur, une vie
Un serment
Une folie
Une douceur, un enfant
Je cherchais en vain
Une rime au destin
Un printemps de vie qui s’ouvre au mien
Enfin tu es là
Ta rime est pour moi
La rose des vents qui guide mes pas
Refrain
Le poète chemine au gré des mots qu’il sème
De sa plus belle pensée, je t’aime
©Carl Os / Cae 132540117
Aujourd'hui, les critères de beauté conditionnent humeurs et comportements. Qui les définit ?
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Qui en décide
Qui en a le choix
Seule, elle se mire
Et ne s’aime pas
Pourquoi rougir
Pourquoi souffrir
De l’image de soi
De son calibre
Le canon de beauté
À tiré sur sa joie
Qui en décide
Qui en a le choix
Laissez-la vieillir
Autant qu’il faudra
Pour s’affranchir
Sans retenir
Le temps qui passe
De son calibre
Le canon de beauté
À tiré sur sa joie
Elle en décide
Farder n’est pas son choix
À présent elle veut vivre
Et libère sa joie
Mieux vaut mourir
Que travestir, cèdre l’image de soi
Au seul calibre
Du canon de beauté
Qui ne la brisera
©Carl Os / Cae 132540117
Elle se racontait des histoires qui trahissaient une douloureuse solitude.
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Elle vit ses histoires dans son monde comme dans la confusion
Soumise à l’empire des pensées, du silence et de l’ombre
Elle rythme ses jours en secondes pour gagner l’illusion
D’effacer l’attente et cesser trouver le temps long
Elle oublie son malheur quotidien
Elle oublie l’allégresse du prochain
La promesse des demains
Son besoin d’amour s’endort le temps d’une embellie
La douceur d’un bref réconfort lui tiendra compagnie
La douceur d’un bref réconfort restera son amie
Elle vit ses histoires en secrets comme dans l’indifférence
Soumise à l’emprise du manque et l’absence d’affection
Elle rythme ses jours en souhait pour forger l’espérance
D’accéder à la force d’un regard et de la confession
Elle convie son bonheur quotidien
Elle convie la présence d’un prochain
La tendresse de demain
Son besoin d’amour est si fort, le temps d’une rêverie
La douceur d’un bref réconfort lui tiendra compagnie
La douceur d’un bref réconfort restera son amie
©Carl Os / Cae 132540117
Les sentiments viennent et s'en vont. Quand on t'interroge. Pourquoi ?
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Tu pourras chercher pourquoi
Me sonder, fouiller en moi
Tu pourras me contredire
Contester, tout démentir
Tu pourras me trouver lâche
M’insulter, crier ta rage
Ou tu pourras m’affaiblir
Comme tu pourrais en finir
Refrain
Je n’ai rien à déclarer
Qui ne soit sincérité
Ce que je cherche à te dire
Ne prétends pas se traduire
Ni raison, ni débat
Tu peux céder à présent
Le pourquoi ne répondra
À l’issue de mes sentiments
Je pourrais fouiller en toi
Te sonder, crier “pourquoi”
Je pourrais te contredire
Palabrer, te définir
Je pourrais te voir changée
M’insurger, m’apitoyer
Ou je pourrais te maudire
Comme il me vient à souffrir
Refrain
Je n’ai rien à déclarer
Qui ne soit sincérité
Ce que je cherche à te dire
Ne prétends pas se traduire
Ni raison, ni débat
Tu peux céder à présent
Le pourquoi ne répondra
À l’issue de mes sentiments
©Carl Os / Cae 132540117
Confronté aux réalités de ce monde il cherche à s'en libérer.
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Il n’a pas vu venir la tempête et l’orage
Soumis au tourbillon croissant
Il voudrait percuter les idées dans sa tête
Contre la merci du courant
Mais il faudra reprendre force et courage
Préparer le journal de bord
Lever l’ancre, larguer les amarres, quitter l’autorité du port
Lever l’ancre pour empoigner la barre, tout quitter sans aucun remord
Tout ce cinéma
On a pas besoin de tout à tout prix
Tout ce cinéma
On a juste besoin d’amour pour vivre
Combien de temps reste-t-il à se battre en duel
Contre le démon des finances
Il voudrait s’affranchir de la folie moderne
Bannir l’enfer des créances
Revenir pour embrasser le sol et gagner à s’auto-suffire
Plutôt que d’avancer, puis rendre l’âme sans avoir jamais réagi
D’avancer, rendre les armes sans avoir pu désobéir
Tout ce cinéma
On a pas besoin de tout à tout prix
Tout ce cinéma
On a juste besoin d’amour pour vivre
Quand l’harmonie s’installe, c’est le coeur qui chante
Il nous invite à le suivre
Ou du moins réunir d’entières résiliences pour assainir l’avenir
Le pouvoir véritable, n’est pas de tout posséder
On le sait, ce n’est pas un hasard, il est plus puissant de donner
Partager, puiser sans épuiser, simplement vivre et non lutter
©Carl Os / Cae 132540117